On commence par les belles performances réalisées au Teich, sur le 10 km. Christopher descend sous les 38', Jamain sous les 39' et Jean-Yves se rapproche des 40. Christelle accroche les 49', je crois que c'est son record, donc 4 records battus sur cette course. Bravo!
| 19 | Etchegaray Christopher | Bordeaux Athle | 37m43 |
| 25 | Medina Jamain | Bordeaux Athle | 38m26 |
| 58 | Clotes Jean-Yves | Bordeaux Athle | 40m56 |
| 91 | Monlun Patrice | Bordeaux Athle | 42m49 |
| 214 | Amelineau Christelle | Bordeaux Athle | 49m01 |
| 220 | Goueffon Yannick | Bordeaux Athle | 49m12 |
Trail de la Cestadaise (16 km)
| 35 | 1h11'12'' | ALTHABE Jean-richard | |
| 121 | 1h21'34'' | GORTAIS Gerard | |
| 128 | 1h22'09'' | PEVERGNE Maryline | |
| 205 | 1h29'41'' | BOUVIER Pascale | |
| 206 | 1h30'00'' | DUBOIS Marie-ange | |
| 295 | 1h40'56'' | LEDUC Francoise | |
| 322 | 1h45'33'' | LE CLOITRE Cecile | |
| 339 | 1h50'12'' | LESCURE Veronique |
Au Grand Brassac, les trois Teams 24h ont terminé, avec 1ère équipe Zone Course (Lolo, Antoine, coachette et kathrine en assistante)27è avec 164.11 km, ensuite RunningMag (Jérôme, Julien, Vincent et Pablo en assitant) 38è avec 152.6 km, puis Génération Trail (Jean-Marc, Momo, Philippe Barat et philippe Cortijo en assitant) 41è avec 144.96 km, 52 équipes classées. J'attends maintenant vos CR pour les publier.
Sur l'extrême Trail, Thierry réalise 3h20 à la nocturne et 2h53 le lendemain, tandis qu'Alexia confirme son potentiel sur trail avec un circuit bouclé en 3h sur l'épreuve de dimanche.
BRAVO à TOUS!
bravo aux champions du Grand Brassac! une belle brochette avec de belles perf!
RépondreSupprimeralors Antoine ? tu t'es éclaté ?
bravo aux habitués du bitume et notamment jean yves qui améliore son chrono : le travail paye : bravo!
et bien entendu, chapeau aux trailers sur Cestas!
merci coachette de nous donner envie!
val
Salut Tous, le temps et l'énergie me manquent pour partir dans des envolées lyriques...Mais je sais maintenant une chose: le Grand Brassac porte bien son nom: c'est plus fort que toi... Je m'explique: il m'a bien Grand Brassé. Cette épreuve est énorme sous tous les aspects ! Pour l'instant le plus dur challenge à relever pour moi. Je suis pas déçu de ce que j'ai trouvé en difficulté, mais que c'était bon ! Je m'entends encore dire "je ferai assistant le prochain coup" en rentrant hier soir... mais mon penchant mazochiste, ainsi que la nuit salvatrice me font retourner la veste ce matin même...J'aime trop l'effort pour pas y retourner en 2014 ! Tellement différent et si proche des éléments: pluie, vent, pierriers, branches dans la gueule glacée par le froid, et bien sûr: le souffre-douleur durant 100% du WE: celle qui fait qu'on est pas tous égaux devant elle: Sa Majesté La Boue! Profonde, grasse, plus proche des marécages du bassin type "vase" que de celle de Bouliac ! Ajoutez des petits ateliers éducatifs type échelle barreaux, corde fine bien glissante, filet bien détendu pour les retournés quand d'autres concurrents doublent...tout ça sur des appuis bien boueux, et bien sûr toujours et encore des variantes de boue type boue en dévers, boue en côte, boue en descente, boue sur les côtés, boue dans l'herbe, tout ça finit, comme vous l'aurez deviné: "rincé" le Toons ! Endroit de la médaille: des ischios bien préparés pour la saison ! Bouliac c'est du pipi de chat ! Dans tout ça la plus grosse difficulté reste de courir hyper concentré pour épargner les chevilles des pièges, dénicher les trajectoires les moins pires en fonction de l'état du tracé, garder du jus et de la puissance pour réaliser les enjambées imposées par l'absence de d'appuis fermes en côte...bref tout ce qui faut pour empêcher de courir "relâché"...
RépondreSupprimerLa suite après le repas...
J'attends avec impatience la suite.
RépondreSupprimerRe-Bonsoir pour la suite: je me suis remis dans l'ambiance en visionnant les photos des albums qui croyez-moi ne laissent pas imaginer l'effort et les réserves d'énergie nécessaires pour arriver au bout..On sait tous que quand il y a des flashs, le sourire s'impose mais c'est toute l'ambiguité et la passion de ce même effort qui nous pénètre comme une drogue pour nous emmener vers encore plus de sensations ! Je m'égare; pardon. Voilà donc le décor est planté !
RépondreSupprimerCôté course en vrac: Le 1° tour fût terrible pour moi car pas de cuisses, comme si j'avais trop bouffé de Nutella et Gatosport, donc dans la souffrance et découverte du terrain...Ca a bien énervé mes partenaires...Lolo grand prince et chef de meute est venu à ma rescousse et me redonne confiance, trouve les mots, merci Lolo, ça a marché et c'est surtout agréable de partager les moments difficiles; c'est aussi ça les valeurs de ce sport qui finalement sont aussi simplement humaines. Autre paradoxe: sport individuel mais tellement agréable à partager; revenons à nos baskets !
On boucle en 3h après 2 plantages tracé, qui restent d'après moi que du handicap alourdi par la pénallité règlement...Une fois de plus Lolo galvanisé en chef de meute, repart donc 30' plus tard pour relancer tout ça ! Il vous racontera une prochaine fois mieux que moi mais il nous a replacés largement au classement (+7 places...). On cale la stratégie des relais en supprimant le n°2 qui permet une vraie détente confort avec séchage de fringues, alimentation, et point course où on est au plus proche du terrain dans l'action. J'ai le temps de me remettre de mes émotions (un peu palot à la fin du 1°tour...).
Je repars donc de Brassac vers 19h avec frontale pleine intensité en craignant déjà pour mes chevilles...Je prends mon rythme. Je me sens bien mieux...Je double même les derniers du combiné en leur lançant fièrement "Gardez en pour la fin !" Je reconnais à peu près le parcours et arrive à me détendre un peu pour trouver le plaisir, je fais le plein d'énergie proposée par la bannière sponsor Red Bull, vite repris par la difficulté du terrain pour arriver à ce bien mérité moulin et découvrir le confort sommaire, l'ambiance course partagée avec des trailers de haut niveau drôlement affûtés...GBrassac: la mecque du trail ? me-dis je ! Certainement un petit peu pour enquiller des relais aussi rapides sans être marqué physiquement et équipement compris...Gagné par l'admiration et convaincu que ces moments sont intenses dans les expériences de course vécues...Oh merde ça me reprend !
J'avoue que ma mémoire flanche en voulant retracer tout précisément...Je sais juste que Lolo & Nath gagnent des places. Me voilà à minuit donc en piste pour boucler mon 2° tour avec cette portion 3-1 qui repart avec 2 montées cordes qui consomment la récup...Je sais que ce sera dur, mais moins que le 1° tour alors je décide de courir plus souvent pour à mon tour regagner des places, le profil est exigeant mais j'ai plus de jus que cet après-midi alors ça doit passer, je gère mieux la boue...La nuit aide à se concentrer, et le fléchage est super efficace, la frontale en guise de masque de plongée pour explorer ce nouveau terrain de jeu rempli de quasi-hallucinations de lumière, d'ombres, d'animaux invisibles traversant ma trajectoire, les bénévoles sont très discrets maintenant, seul au monde, la nuit étoilée, le souffle sortant de ma bouche traverse le faisceau de la frontale...les sens sont décuplés, les appuis sont curieusement presque plus faciles qu'en plein jour...Erreur, allure plus lente, où phénomène que je ne connais pas ? J'exalte à nouveau en appréciant d'être seul et libre en parcourant cette nature sauvage et exigeante qui réjouit pleinement nos instincts...Bref l'éclate ! Je sens de plus en plus ce milieu, semble enfin apprécier la course. Restant concentré sur les flèches toujours aussi efficaces, la fin du 2° tour arrive soit borne 44 pour moi et la moitié course écoulée...Je sais maintenant que j'ai les cannes et la gagne pour bien finir.
RépondreSupprimerLa suite plus tard...Bonne nuit les petits !
Et oui, la suite, Toons, jusqu'au bout tu racontes, c'est comme le 24h, jusqu'au bout! Et le p'tit Julien, Il est dans quel état aujourd'hui? Lui qui s'était juste préparé à faire 22km et qui a du en faire une soixantaine! Et les autres, au fond du lit?
RépondreSupprimerPETITE DEVINETTE
RépondreSupprimerIl y a dans chaque groupe un schtroupmf coureur, saurez vous les reconnaître ?
jean marc
bien vu Jean Marc, schtroupmf alors!!!!!
SupprimerCa va mieux pour toi ??
Bien Vu Jean-Marc, je ne dirai pas les noms, mais c'est fastoche. Comment va ton adducteur?
RépondreSupprimer24 heures du 2 au 3 février
SupprimerFallait des bottes en caoutchouc
Pour patauger dans la gadoue
Km après km les gouttes de boue
Me dégoulinent entre les orteils
Nous pataugeons dans la gadoue
Séchons un peu dans les bases vie
Vêtements secs et chaussettes propres
Et puis rechaussons les runnings sales
Et repartons pour Grand Brassac
Il y avait saucisses et lentilles
Pour réchauffer nos estomacs
Puis retrouver la gadoue
Il fait un temps abominables
Heureusement tu as ta GoreTex
Et ça n'empêche pas la gadoue
Il fallait venir jusqu'ici
Pour jouer les traileurs masochistes
Et patauger dans la gadoue
L'année prochaine nous reviendrons
Dans ce pays où il fait moins bon
Et nous retrouverons la gadoue, la gadoue, la gadoue....
le bilan
RépondreSupprimerl'entorse petit hématome(petite récidive)
l'adducteur petite fissure de 4 mm, vu à l'échographie je vois le médecin demain
nouvelles semelles
passe en petite catégorie handisport sur les prochaines courses
jean marc
Ton deuxième adducteur était jaloux. Il va te rester le vélo pendant quelques temps pour nous rendre visite et nous accompagner. Allez, avec des nouvelles semelles et la parité rétablie, tu vas repartir comme en l'an 40. Bisous, bisous jean marc.
RépondreSupprimer