dimanche 29 juin 2014

Résultats du Week end

Commençons par Moussa qui est aller découvrir la Montagne à Chamonix, ce n'est pas rien, pour son premier trail montagneux : le marathon du Mont Blanc, ses 42 km et 2500 de D+. Et malgré la pluie tout au long de la course, il s'en est bien sorti en terminant 1733è (sur plus de 2100 classés) en 7h13'10. Bravo Moussa. Je sais que tu as vu le Mont Blanc, et je sais aussi que tu auras envie d'y retourner, car même si c'est ultra fréquenté, car la Mecque de l'Alpinisme, le Mont Blanc, ça vous prend partout! Bon retour et à mardi au stade je l'espère. 

Il y avait aussi des coureurs à Bouliac, enfin juste quelques uns : 

143 45'14'' LABESSE Bernard
242 48'43'' NIVARD Jean



jeudi 26 juin 2014

Retour sur l'Utpma par Cécile

Cécile nous a écrit un petit texte, mais non, un grand sur son aventure à Aurillac. Beaucoup se reconnaîtront dedans, cela donner peut-être envie à d'autres. Bonne lecture. 

L’UTPMA, ma première confrontation à l’ultra…

L’histoire commence lors du dernier UTMB où Gilles rencontre Sébastien, de l’équipe de l’UTPMA. Ce dernier, en vrai passionné, lui raconte « son trail », il est question de dénivelé positif, de  paysages superbes, de grande aventure humaine, de dépassement de soi… Et bien sûr, la magie opère et la contamination va suivre ! C’est décidé, Gilles et moi nous lançons le défi ambitieux mais tellement beau de participer à l’UTPMA le 21 juin 2014. Commence alors une folle saison de préparation pour pouvoir venir se « frotter » à une telle distance. N’ayant débuté la course qu’un an auparavant, le travail ne manquait pas pour moi mais tout le monde y a cru. Les copains du club étaient là pour pousser derrière, accompagner lors des entraînements et remotiver pour chasser les doutes. Les coachettes ont suivi les courses, proposé et adapté les plans d’entraînement. Cette course a finalement était préparée par toute une bande de coéquipiers qui m’ont généreusement offert leur soutien, leurs conseils, m’ont accompagnée, réconfortée et m’ont poussée à me dépasser alors rien que pour ça l’UTPMA a été une belle aventure avant même de débuter, parce que c’est ça aussi le trail : un échange, un partage…
            Le jour J-1 est enfin là. Je suis ravie, la météo est superbe : enfin  une course où je ne vais pas avoir à patauger dans cette boue qui ne nous a pas quittés de l’hiver ! Le ciel est bleu, le mercure est au plus haut… et d’un coup, je réalise que ça n’est peut-être pas une si bonne nouvelle… On part retirer nos dossards, et repérer un peu les lieux pour le départ.
Nous assistons ensuite au briefing, grande découverte pour moi qui suis plutôt habituée à un briefing 5mn avant le départ, détaillant la couleur des panneaux à suivre et les quelques consignes à respecter… Ici, on est assis et on écoute sagement la présentation et les directives. L’organisation connaît son sujet et je suis rassurée de me sentir « entre de bonnes mains ». Beaucoup se connaissent, l’ultra est une grande famille semble-t-il ; je me sens un peu perdue, l’éléphant au milieu du magasin de porcelaine… Le parcours est présenté et détaillé dans son ensemble avec les conseils liés à chaque type de difficulté ou de terrain. C’est maintenant que la pression monte de mon côté ! Je tourne la tête de tous les côtés pour trouver quelqu’un dans le même état que moi mais les trailers sont détendus, plaisantent et sourient alors que moi je commence à me faire des nœuds au cerveau ! Au rayon des animaux nous avons des tiques annoncées, il va falloir faire un état des lieux sérieux de la machine à la fin de la course ! Je m’imagine déjà me contorsionnant sous la douche pour explorer tous les recoins de ma peau tout en évitant de bouger trop de muscles pour limiter l’attaque des crampes ! Ensuite viennent les vaches à qui il n’est manifestement pas conseillé d’aller gratouiller le museau si on ne veut pas avoir à accélérer subitement pour éviter une charge… Nous serons donc tolérés sur leur passage mais faudra rester discrets… Puis il est question de cordes (ou pas d’ailleurs !), d’échelle, de passages « délicats », bref, moi qui ne suis ni courageuse, ni téméraire ça me met direct en condition ! Inutile de préciser que le numéro du médecin est enregistré aussitôt sur mon portable… Les organisateurs soucieux de proposer aux coureurs les meilleures conditions de course possibles annoncent déjà deux points d’eau supplémentaires en raison de fortes chaleurs. Et parce que certains ont un besoin jamais assouvi de se dépasser et de pousser les limites, on nous présente la version UTPMA 2015 : 160km à travers ce Cantal qui n’en finit décidément pas de nous surprendre et de nous offrir un terrain de jeu toujours plus grand, toujours plus beau… Moi je vais déjà tenter le 105 et laisse le 160 aux plus chevronnés !
            Samedi, 3h30, place du square Vermenouze, nous faisons activer nos puces, il fait déjà chaud, les coureurs sont dans l’air de départ, on ressent l’impatience, l’envie de commencer mais surtout la bonne humeur contagieuse (le 5-2 contre la Suisse la veille y contribue également à en croire les conversations..). La folie démarre ici : se lever un samedi matin avant le jour pour aller courir 105km… Pour mes amis c’est définitif, c’est incompréhensif et inenvisageable !
 Avant le départ il est demandé aux féminines de se placer sur la ligne, les organisateurs nous chouchoutent, c’est gentil. C’est sûr, on est peu nombreuses mais on ne vient pas sur un ultra pour se mettre en avant. On vient pour l’aventure, le dépassement. Femme ou homme, le défi est le même, les émotions sont aussi intenses et personnellement j’apprécie le fait que tout le monde court ensemble quelque soit le sexe, la catégorie et l’objectif.
            Quatre heures et quelques minutes, la place s’embrase, le départ est donné ! on ne perd pas de temps : ça monte tout de suite ! Et je suis rassurée : le rythme est tranquille, on trouve notre place dans le groupe, on marche dès que la côte dure un peu. Le peloton s’étire mais bien moins vite que ce à quoi je m’attendais. Je reste près de mon binôme, on est sur la même cadence, le nœud à l’estomac se desserre. Les frontales matérialisent le serpentin de coureurs qui s’allonge progressivement dans les bois. Le chemin est étroit mais permet tout de même les dépassements, le sol est sec et la température idéale, que demander de plus ? J’aime courir la nuit, nos sens sont davantage en éveil, on perçoit les bruits différemment, il se dégage un sentiment de sécurité, comme dans un cocon. Très vite des conversations démarrent dans les petits groupes qui se créent. Dans le nôtre le sujet concerne le marathon qui partira à 10h30. On s’inquiète pour ceux qui vont courir au plus chaud de la journée. On parle du parcours et petit à petit les kilomètres s’enchaînent. Je suis pourtant inquiète concernant les barrières horaires. D’après les calculs, ça va passer à chaque fois mais on est dans le théorique puisqu’on n’a jamais couru autant. Dans la pratique nos calculs se révèleront faux malheureusement. Trop difficile de tenir une cadence de 5,5 km/h lorsque les ascensions vont s’enchaîner.
Premier ravitaillement à Velzic, un accueil chaleureux des bénévoles pour nous encourager, ça fait du bien au mental. Le rythme est le bon, on est dans les rails pour passer tranquillement les barrières suivantes, ça me rassure un peu mais ça n’est que le début. Une soupe (bonne idée !), quelques grignotages (parce que le petit-déjeuner léger pris à 2h est déjà loin !) et il faut repartir. Gilles est contrarié : il a le sentiment de ne pas avoir de « jus » et n’a pas de sensations. De mon côté difficile à dire, je crois que je suis encore en train de me réveiller ! Le jour se lève petit à petit et l’intensité des frontales peut être baissée. Les paysages se découvrent, c’est magnifique ! On prend de la hauteur, tout est vert aux alentours mais l’arrivée du soleil réchauffe aussi l’air ambiant. ça se sent lorsqu’on respire : l’air est lourd et ne circule pas. On croise nos premières vaches, tout se passe bien, mais je préfère ne pas m’attarder !
Arrivée à Mandailles, on enlève les manches longues et on s’allège, il fait déjà chaud. Je suis tellement préoccupée par les barrières horaires et les montées qui nous attendent que je ne me rends même pas compte que derrière, les abandons ont commencé… Les navettes misent en place seront bien remplies tout au long de la journée pour ramener les coureurs contraints à l’abandon à Aurillac. Nous croisons Christian Mahé à cause d’une petite erreur d’aiguillage ce qui nous fait réaliser que lui a déjà avalé 25km de plus que nous ! Pour moi, c’est juste incroyable ! Chapeau bas… Il boucle cette édition en 13h, un grand bravo ! Pour nous l’aventure se poursuit et je suis à la peine : ça grimpe beaucoup et le souffle est court. Gilles est plus à l’aise, je fixe ses chaussures devant moi et me calle sur son rythme. Je pense juste à mettre un pied devant l’autre et m’interdis de lever les yeux vers le sommet pour ne pas me décourager. A chaque faux plat, en haut ou en bas de chaque difficulté, on trouve des coureurs assis voire couchés qui tentent de reprendre des forces. Quelques situations sont plus inquiétantes et le ballet de l’hélicoptère dans le ciel témoigne d’une édition difficile. Mais c’est aussi la preuve, s’il en fallait encore une, que les organisateurs utilisent tous les moyens à leur disposition pour nous permettre d’évoluer en toute sécurité et pour pouvoir intervenir en cas de défaillance ou d’accident. Toute cette logistique m’impressionne.
            Après Chavaroche, nous attaquons le Puy Mary avec une pause nécessaire pour moi pour retrouver des forces et détendre un peu les muscles. Je sens les crampes proches et je trouve que c’est bien trop tôt encore pour les supporter jusqu’au bout… Un point d’eau supplémentaire nous attend, une fois encore les organisateurs ont été réactifs aux demandes et besoins des coureurs. Mon débardeur de Bordeaux Athlé me vaut plusieurs remarques des promeneurs croisés à moins que ce ne soit mon visage déjà bien marqué par la fatigue… « c’est plus plat chez vous non ? », « Allez Bordeaux ! » et une qui m’a faite sourire « vous êtes la première fille que je vois ! ». Tous ces petits mots, ces petites phrases, ces encouragements, ces sourires, aussi brefs soient-ils ont été un vrai moteur tout au long du parcours.
            Nous redescendons prudemment le Puy Mary, je trouve que ça glisse, que les cailloux roulent, les jambes sont fatiguées et les glissades non contrôlées de plus en plus nombreuses. Nous rentrons ensuite dans une zone « sans bâtons ». J’avoue que là pour moi ce fut très dur… Supprimer ces deux appuis supplémentaires alors que les jambes ont enchaîné les difficultés sur cette partie c’est rude ! Au sommet on nous annonce que nous sommes 260ème. J’ai du mal à le croire, nous sommes pourtant très « limite » au niveau du temps et pourtant il y aurait encore près de 200 coureurs derrière nous ? La chaleur a terrassé beaucoup de monde apparemment. Dans la descente Gilles m’explique que nous ne pourrons pas boucler dans les temps, on a pris trop de retard. La déception s’installe, on vient juste de passer la moitié du parcours et ce serait déjà la fin… On doit tout de même aller jusqu’à Mandailles alors on poursuit mais le cœur n’y est déjà plus tout à fait. On ne relance plus dans les descentes ou sur le plat, courir devient de toute façon trop douloureux et nous allons aussi vite en marche rapide. Comme à plusieurs reprises sur le parcours, nous croisons des membres de l’équipe « médicale » qui prennent de nos nouvelles et s’assurent que tout va bien. Finalement, plus on se rapproche et plus on réalise que la barrière est à notre portée. On n’accélère pas pour autant, on n’en est plus capable. Nous arrivons au ravitaillement 1/2h avant la barrière horaire.
            A ce moment, le plus dur nous attend : décider de la suite, abandon ou poursuite. Nous allons nous ravitailler et nous poser pour prendre la décision sagement sans précipitation. Pour moi à ce moment, le doute est trop fort pour trouver la force de le dépasser et repartir. Je me sens capable d’aller jusqu’à la suivante (20km encore et le Piquet à passer) mais vu mon état je sais que je finirai totalement dans le rouge et n’aurai pas la force d’aller au  bout si jamais nous parvenions à être dans les temps ce qui paraît peu probable vu notre rythme sur la portion précédente. Comme il est difficile et douloureux de devoir aller rendre son dossard alors que l’on est « dans les temps » ! J’aurai acceptée d’être éliminée bien plus facilement que de décider d’abandonner. Notre grand rêve de la saison s’achève au 60ème km la mort dans l’âme. La raison l’a emporté. Il est grisant de repousser et de dépasser ses limites mais il faut parfois aussi admettre que c’est trop difficile et que la barre est encore un peu trop haute…
            Cette expérience n’est pas perdue pour autant et les belles courses ne manquent pas pour trouver un nouveau défi à relever une fois la déception passée.
            Je retiendrai de cet UTPMA, la gentillesse et le désir de faire plaisir de toute l’équipe qui œuvre sur l’épreuve (organisateurs, bénévoles, animateur, spectateurs !...), la super organisation (balisage clair, ravitos bien garnis et points d’eau rajoutés, sécurité et soins…) et surtout des paysages grandioses ! La portion Mandailles/Mandailles fut vraiment éprouvante mais quel régal pour les yeux ! Un grand ciel bleu, le Cantal et ses sommets à perte de vue… juste grandiose.
Allez, 160 km ça serait trop ambitieux pour l’an prochain mais d’une façon ou d’une autre il y a fort à parier que je reviendrai goûter à cet UTPMA comme beaucoup de ceux qui y ont goûté un jour !

            

lundi 23 juin 2014

Grosse déception pour Cécile

C'était son objectif de l'année : Les 105 km de L'Ultra Trail du Puy Mary! Depuis le mois de janvier qu'elle s'entraînait notre Cécile en enquillant des trails de plus en plus longs et nombreux! Le challenge était sacrément relevé pour notre maîtresse qui n'a commencé à courir qu'il y a deux ans. Elle l'a presque fait! PRESQUE. Ce qui l'a arrêté?
Les barrières horaires? Non, et pourtant c'était ce que je craignais le plus
Finalement, ce qui l'a arrêté, c'est la chaleur surtout, enfin, c'est ce que je crois, la chaleur conjuguée à la fatigue au 60è km. Cécile est donc très très déçue de ne pas être allée au bout, mais il faut dire que sur ce circuit, il y a eu plus de 50% d'abandons, ce qui est un record pour une telle distance où habituellement on est plus proche des 80% de finishers au moins. Mais la chaleur, c'est pire que tout! 
Bien sûr, une fois la course finie, on a des regrets d'avoir lâcher, mais tu peux te dire que toi au moins tu as vu du paysage, alors que nous l'année dernière on n'a quasiment rien vu de la beauté des Puys. 
Par expérience, je sais que les performances on les fait plus dans un temps pourri, même avec un terrain mouillé et glissant que sous une météo superbe et chaude donc. Cécile, il faudra revenir l'année prochaine. 
En attendant, tu as mérité une bonne dizaine de jours de repos total. Il faut aussi regarder tout le plaisir que tu as pris à préparer cette course et les compétitions qui sont allées avec, elle font partie de l'aventure. 

Wilfried de son côté a fait le trail de Pauillac, le 10 km qu'il a terminé en 48'30.





lundi 16 juin 2014

Un beau Week end en Vallée d'Aspe

Pendant que certain(e) sont contraint(e) à rester à quai pour cause de kermesse, d'autres s'envoient en l'air dans nos belles montagnes pyrénéennes. Un groupe de près de 25 personnes pour ce déplacement à la Montan'Aspe.
Tous n'ont pas couru, certaines on préféré randonner. 
On saluera la superbe performance de Bruno, qui décidément est fait pour le trail, il aurait du sang montagnard dans les veines qu'on ne serait pas surpris! Quant à Chantal, ça on le sait depuis longtemps qu'elle aime crapahuter dans les cimes, et elle en a "bouffé" du Bordeaux Athlé! A commencer par Patrice, et puis aussi Maryline, oh qu'elle doit être contente la Chanchan, qui se croit toujours une "brêle". Je ne sais pas si je m'engage dans le prochain trail avec toi, je sens que tu vas me bouffer aussi. Visiblement sa blessure à l'Euskal lui a donné encore plus de mordant. Et Maryline, tu vois, ça l'a fait quand même, malgré tout. 
Bravo à tous, il nous reste maintenant le GRP en ligne de mire pour beaucoup d'entre nous, et les plans d'entrainement vont tomber. 

50 km, 3300 de D+
27 7h36'24'' ALTHABE Richard
36 8h06'50'' VOYEZ Bruno
40 8h11'02'' SEGUIN Maurice
72 10h25'28'' GORTAIS Gerard
73 10h25'31'' MEDINA Jamain
29 km, 2000m de D+
52 4h20'22'' SERANI Laurent
66 4h27'03'' ALGALARRONDO Chantal
74 4h35'07'' VIERBIEST Vincent
79 4h37'26'' PEVERGNE Maryline
93 4h47'47'' MONLUN Patrice
137 5h12'55'' CHATELLIER Jerome
151 5h20'40'' BONNEFOI Herve
171 5h36'26'' GROUARD Frederic
182 5h48'27'' PASSERIEUX Marc
183 5h48'28'' GEOFFROY Alain
198 6h07'48'' BONNEFOI Anouch
199 6h07'50'' DAO Sandrine

Les photos de Bruno, ici

mardi 10 juin 2014

Résultats du week end

Depuis qu'elles se sont "affrontées" sur la piste à la marche, elles ne se quittent plus! Sylvie Denou et France ont fait équipe à la foulée des Baïnes en Duo. Elles terminent à la 100è place, chiffre symbolique en 2h15. Jean-Marc était aussi dans le peloton, en solo, il termine en 2h08.
Quant à Sylvie Nicol et Sophie Viguier, elles étaient aux Gendarmes et aux Voleurs, où elles sont fait une course d'équipe et termine à la 1224è et 1225è place (1683 classés) en 4h06'52.
Bravo à toutes et à tous.

lundi 2 juin 2014

Du monde au Sauternes et à L'euskal

On commence avec l'Euskal Trail. Ils étaient 4 équipes, trois sur le 2x25, 2 sur le 2x40. Le terrain et la météo étaient extrêmement pourris, comme d'habitude, c'est juste plus ou moins. Là, c'était plus! Merci d'envoyer des photos si vous en avez. 

2x40 : 226 équipes classées
Momo et Philippe terminent à la 91è place en 13h08
Pat et Chantal à la 163è en 14h55

2x25 : 524 équipes classées
Christelle et Guy : 487è en 10h05
Anouch et Marie Pierre : 495 en 10h15
Christian et son fils à la 518è en 11h45

Christian, je suis très admirative, car on sait tous que le trail c'est difficile pour toi avec un bras en moins, et là, vu les conditions de terrain où il faut vraiment jouer de l'équilibre tout le temps, je dis bravo et grand respect! En plus, faire la course avec son fils, c'est trop top. J'espère que bientôt ce sera mon tour avec l'un des miens. Et bien sûr, un grand bravo à tous. 






Marathon du Sauternes :
Il y avait Luc, Lolo, moi-même, François l'époux de Claire, Jérôme et Richard de Morcenx.
Nous sommes partis sous un petit brouillard bien typique de Sauternes et indispensable au raisin qui donne ce vin si particulier, et peu à peu il s'est dissipé pour laisser la part belle au soleil. La température est montée, et ceux qui ont terminé en plus de 4h ont bien du la sentir.

Les résultats : 538 arrivants, classement marathon et duos confondus
Richard : 58è, 3h20'13
Jérôme : 82è, 3h26'16
Nat : 109è 3h32'51 et 3èF
François : 136è 3h40'06
Luc : 207è 3h51'33

Pat darche était en Duo, ils font 3h12. 

Lolo a abandonné. Merci à Momo pour ses encouragements à l'arrivée. 





Lien photo de Claire, ici