mardi 29 août 2017

Fin de vacances - Aboutissement des grands projets

Avant de vous parler du point d'orgue de l'année, quelques résultats du mois d'août :

20/08/2017 : semi et 10 km du Porge :
10 km :
- Anthony Coste : 54'03
Semi :
- Patrice Monlun : 1h43

05/08/2017 : Trail de Larrau : 42 km et 2800 de D+
- Cyrille Le Breton : 172è en 7h 18'59
- Nathalie Wurry : 173è en 7h18
- Anne rebière : 192è en 7h 29'34

06/08/2017 : 15km de l'ïle d'Aix
- Vincent Bouchet 8è et podium en catégorie

29/07: 10 km trail de Villejesus
- Vincent Bouchet 6è

29/07 : Trail d'Arrens Marsous 44 km
- Vincent Verbiest : 48è en 8h36'17

Maintenant, le GRP et mon récit :

Nous étions donc une bonne équipe à se rendre à Vielle Aure : Anne, France, Cyrille Lebreton Vincent Bouchet, Vincent Verbiest, Jean-Marc Sicard, Richard Althabe, Emmanuel Hardouin, Cécile Le Cloître, auxquels il faut rajouter Vincent Moity, autrefois licencié chez nous mais désormais il est retourné définitivement dans son pays basque, et Sophie Bouquet, licenciée à Soulac, mais à qui était très contente de pouvoir s'accrocher à un groupe, vue qu'il y a deux ans elle est allée toute seule faire le 120, c'est quand même beaucoup moins drôle. 
Nous étions 10 dans un appartement, donc l'équipe de l'UTMB 2010, 2011, 2012, à savoir Vincent, Richard et moi, mais Jean-Marc en fut aussi en 2010. Il y avait aussi quelques accompagnateurs, Marie-Laure, toujours supportrice de son cher et tendre Jean-Marc, mais aussi Céline. Cécile, Emmanuel et Vincent Verbiest ne logeaient pas avec nous, les deux derniers étant avec leur petite famille au complet. 

Nous sommes donc arrivés un peu les uns après les autres, les "d'jeun's" sont arrivés dès dimanche, et Vincent tenait difficilement en place devant ces belles montagnes, il rêvait de faire le Néouvielle, mais ce n'était pas une bonne idée. Avec Sophie, nous sommes arrivées lundi, afin d'occuper tout le monde et de s'acclimater tranquillement à l'altitude, j'ai proposé que nous soyons utiles à l'organisation en allant baliser un des parcours du trail Tour à Piau, ce que nous avons fait. 13 km quand même, ça nous a pris la moitié de la journée. Sont arrivés ensuite Jean-Marc et Marie-Laure. Nuit agitée avec un ciel en forme de feu d'artifice toute la nuit. ça a zébré de tous les côtés. Mercredi, arrivées de Vincent et Richard, et c'est le retrait des dossards pour le 220 et le Trail Tour. 20h, départ de la première épreuve pour Jean-Marc, ça s'annonce mal avec les zébrures dans le ciel. Parcours de repli, première épreuve sous la pluie, mais tout va bien. Entre temps, au briefing du 220, on nous annonce des conditions météo susceptibles de zapper la montée au Pic du midi, ainsi que la boucle de Gavarnie. ça commence bien, tout ça ressemble à des Utmb que l'on a connu, on finit par se dire, qu'on va faire le 160 comme d'habitude! 
6h du matin, départ, nous sommes 5 et nous montons à peu près groupés jusqu'au col de Portet où nous lâchons peu à peu Vincent Moity, le rythme est trop soutenu pour lui. 

Nous arrivons à la Mongie vers midi et quart, Richard a quelques minutes d'avance. Vincent Verbiest qui s'est fait mal au genou trois semaines auparavant en chutant tient le coup, il a pris le départ malgré l'avis du médecin, mais le kiné l'a encouragé à y aller, mais à s'arrêter dès l'apparition de douleurs trop fortes. Nous repartons en laissant Sophie qui a besoin de récupérer, le rythme est trop soutenu pour elle, et si ça continue elle va exploser, il vaut mieux qu'elle continue à son rythme, elle repartira avec Vincent Moity. Nous repartons, direction col du Sencours-Pic du Midi-Cols Aoube, Barreille, Hourquette d'ouscouaou, Hautacam et enfin Pierrefitte, la première base de vie. C'est sur cette partie que l'on commence à compter les morts. Jusqu'à la Mongie, ça bataille comme si nous étions dans une course de "10 km", j'exagère à peine. Dans les pierriers de Bastan et Campana, c'est à celui qui passera le mieux les cailloux et ça double, ça double, ça frime même parfois, et de temps en temps, ça se casse la gueule. Bref, quand arrive le col du Sencours, ça comment à peiner, et ne parlons du Pic, puis de la suite jusqu'à Hautacam qui parait interminable. Et comme la chaleur s'en mêle toujours, ce sont aussi les estomacs qui sont mis à mal. Bref, l'arrivée à Pierrefitte sonne comme une petite délivrance, on espère de bons ravitos, mais là encore, rien n'a changé, tout est toujours aussi peu appétissant. Perso, je me suis apporté un repas lyophilisé, mais je n'arriverais à en manger que la moitié. Vincent décide de s'arrêter là, bien déçu, il prendra de longues minutes pour entériner ce choix, mais c'est plus raisonnable. Nous voilà maintenant plus que Richard et moi, bien décidés à faire course ensemble. Il faut maintenant monter au Turon de Bene, et ensuite basculer sur Estaing, c'est la nouveauté de ce parcours. L'arrivée à ce CP est interminable, ça ne descend pas tant que ça, et au détour du franchissement d'un pont, je me prends une belle gamelle, avec un gros oeuf sur le bras. Après course, Richard me dira qu'il y avait 15 m de vide! Je pense juste un mètre à peine, le pont était tellement petit et pourri, si peu sécurisé qu'il ne pouvait pas y avoir beaucoup de vide, mais la nuit déforme et c'est vrai que sur l'instant, j'ai bien eu mal et j'ai eu pleins de garçons autour de moi pour m'aider à me relever. J'ai quand même accusé le coup. Nous arrivons au CP d'Estaing, le dortoir est plein, la chaleur est étouffante, nous partageons un lit de camp tête bêche et essayons de dormir 10' peut-être. Il faut maintenant attaquer le col d'Ilhéou que nous rejoignons après quelques km de route et de sentiers où nous observons un drôle de balai de voitures. certainement quelques tricheurs avec leur assistance! L'arrivée au col d'Ilhéou est loin, très loin, ça n'en finit pas de monter, je l'avais fait en sens inverse et dans le brouillard l'année dernière sur la Transpy, tout ce qui défile devant moi ne me rappelle rien. Nous voilà efin au refuge où les bénévoles nous ont préparé une bonne garbure! Quel bonheur. S'ensuit 8 km de descente jusqu'à Cauterets, avec là aussi un ravito plutôt sympa. Entre temps nous avons appris que nous ne ferons pas la boucle de Gavarnie et que nous allons encore nous taper le col de Riou. En arrivant sur Luz, on nous fait remonter sur le GR10, en direction de Gavarnie, au bout d'un moment, je commence à avoir des doutes et me demande si c'est bien le bon chemin que nous prenons et si ils ont bien débalisé Gavarnie. Je m'arrête, je consulte Iphigénie, prête à appeler le PC course. Un autre gars arrive, après consultation sur Iphigénie, on comprend qu'ils sont peut-être en train de nous faire faire une longue boucle pour rajouter des km, ce n'est quand même pas possible qu'on nous envoie sur un mauvais chemin. Mais là encore, certains qui ont participé aux éditions précédentes en ont profité pour raccourcir, soit volontairement, soit involontairement. Entre temps, nous nous sommes arrêtés un quart d'heure au bord du chemin pour dormir un peu. Nous prenons le temps de bien nous restaurer à Luz, puis c'est parti pour Barèges où nous limitons l'arrêt, puis le refuge de la Glère. La montée est progressive, mais le final infernal, on commence à buter dans les cailloux, ça sent la grosse fatigue et on demande un coin pour dormir au refuge. Il faudra un peu parlementer avec le pompier, mais on va tout de même se coucher 20'. Je sais qu'après nous attaquons un petit enfer avec la Hourquette du Mounicot et surtout le pierrier à passer derrière. Et bien c'était pire que ce que j'avais reconnu. Il y a normalement un chemin cairné dans les éboulis, et bien là, ils ont choisi de nous faire passer hors cairn, un vrai jeu d'équilibriste dans la nuit, où le but consistait à trouver des fanions orange et voir où ça passait le mieux avec les pieds. Franchement, je ne sais pas qui a balisé ça, on était plus dans du trail, mais de la randonnée technique. La suite? une descente sur Orédon avec 3 km au moins de route inintéressante, et des corps commençant à tituber et à avoir des hallucinations. il était temps de faire une nouvelle pause dodo. les bénévoles ont été adorables. Nous voilà repartis vers 5h du matin, là je me dis que nous avons peut-être des chances d'arriver avant 10h. Au col du Portet, magie, nous croisons les coureurs du 80, et tous nos copains, copines, Vincent, Cyrille, Anne, Cécile, Gégé, et pleins d'autres encore, on se dit que peut-être on loupera France, et bien non, au moment de la bifurcation, la voilà qui arrive. On aurait voulu programmer cette rencontre, on n'aurait pas réussi. C'est comme ça que cela devait se passer, quel bonheur d'être encouragés par tout ce monde, et de voir passer nos copains! La descente se passe tant bien que mal, à 1,5 km de l'arrivée, nous apercevons Vincent Moity, arrêté à Hautacam, venu avec sa Gopro, il faut donc se remettre à courir pendant 1,4 km! Vincent nous fait les commentaires, Richard répond un peu, moi je suis comme un robot. Arrive enfin le petite montée juste avant l'arrivée, et là, avec plaisir, je découvre Kat Preuilh, toujours notre grande supportrice et qui m'avait ramenée à l'appartement il y a deux ans dans un état second, elle se met à courir et nous accompagner, je retrouve le sourire en voyant la banderolle d'arrivée, Sylvie est là pour le shooting, derrière les barrières, je retrouve aussi Cyril Fondeville (Transpyrénéa) sur la ligne d'arrivée. Voilà, nous avons mis 52h10, nous sommes 185è et 186è, c'est mon plus mauvais classement au général (2x132è), mais si on avait fait 132è, on serait arrivés 2h plus tôt et on aurait raté les copains, et comme les filles devant moi, sont vraiment loin, aucun regret de ne pas avoir pu me donner davantage de coups de pied aux fesses pour avancer plus vite. Un énorme merci à Richard, car nous avons fait une belle course à deux, il aurait certainement pu aller plus vite et gagner quelques heures. Après ça, direction l'appartement pour un peu de sommeil. la journée se passera entre des va et vient incessants entre l'appartement et l'arrivée. Richard et Vincent attendront Sophie, qui mettra 57h et restera au moins 3h les pieds dans la fontaine avant de rejoindre l'appartement. Il lui faudra encore 3 autres heures pour se décider à se déshabiller enfin et se doucher. Entre temps, nous avons appris la chute d'Anne juste avant Tournaboup et son abandon, zut! Puis ce sera au tour de Vincent Bouchet d'abandonner à la Mongie, plus de jus, il n'a rien avalé depuis le départ, et c'est un peu trop tard maintenant, d'autant que rien ne passe. Nous suivons tant bien que mal l'avancée des uns et des autres mais le suivi beugue. Ne voyant pas passer Cyrille au Merlans, on se dit que finalement, ça doit être une édition bien difficile, quand finalement nous le voyons sur l'écran, le temps de calculer son heure d'arrivée, il était déjà rentré dans l'appartement, le pauvre, personne pour l'accueillir à l'arrivée! Il reste encore France, France pour qui nous nous faisons du souci, car elle était tant stressée, et l'on sait qu'elle a continué après la Mongie, ce qui sent une course qui va aller au bout. On table sur une arrivée à 4h et l'on va se coucher. Finalement, elle passe au Merlans vers minuit, un rapide calcul me fait penser à une arrivée vers 2h30, peut-être moins, peut-être plus? Allez, j'avance le réveil, et à 1h45, je me lève puis vais réveiller Richard et Vincent. Nous attendons, attendons, finalement on aurait pu dormir un peu plus, 3h du matin, la voilà qui franchit la ligne d'arrivée, sourire jusqu'aux oreilles, même pas fatiguée. les garçons rentrent vite se coucher, ils doivent se relever vers 5h30 pour accueillir une autre amie.
France sera très prolixe sur le chemin du retour à l'appartement, Cyrille n'a pas pu dormir, elle lui a tout raconté en long, en large, en travers, en mangeant un peu de pizza quand même. France nous a fait le gourbi pendant un long moment jusqu'à qu'elle décide d'aller se doucher et se coucher. Elle aurait pu faire 10 km de plus, c'est sûr! Le lendemain, branle-bas de combat, il faut tout ranger et libérer l'appartement pour 10h, et c'est un vrai chantier, il y en a partout! Nous avons été hyper efficaces. Puis direction remise des récompenses, podiums en catégorie pour France et moi, Jean-Marc qui a terminé 3è de sa catégorie n'a pas été récompensé, mais il y avait moins de récompensés sur le Trail Tour, il a beaucoup aimé cette formule. Et ensuite, repas gargantuesque avec grillades de travers de porc Basque, et plein, plein, plein d'autres bonnes choses.
Nous avons passés quelques jours mouvementés mais vraiment sympas ensemble, mention spéciale à Vincent Bouchet, qui est excellent cuisinier, et qui nous a improvisé une bonne tarte aux pommes mercredi soir, en lieu et places des myrtilles qu'il n'a pas trouvées avec Céline. 
Ma critique concernant cette édition : ils auraient pu nous donner en dotation le T-Shirt de la 10è édition, nous les avons eu lors des premières éditions, là, il fallait le payer 15€. Le cadeau "tapis de sol" est vraiment nul, et concernant les récompenses, il pourraient faire un petit effort. 2 boîtes de paté, une bouteille de vin, une casquette, bof! Au trail des Allobroges, 63 km dans le petit village de Bellevaux en Haute Savoie,  j'ai eu mon nouveau sac de Trail Raidlight Olmo et un mètre de bière locale, + 2/3 bricoles. Pour France, un pack Trail Marathon Overstim. Bof! 


Le récit d'Emmanuel maintenant, qui participait au Trail Tour des Pyrénées : 

Un petit retour sur cette semaine pyrénéenne, presque toujours sous le soleil. Arrivée précoce dès le samedi, ce qui laisse le temps de profiter de la fête de Vielle Aure le week-end précédent (Salut Vincent !), de faire une petite reconnaissance de la 1ère étape (Vignec – Grange de Grascoueou), avec une descente à bon rythme (c'est normal d'avoir mal aux cuisses pendant 3 jours après ça ?).

Bon, vif du sujet, 1ère étape le mercredi soir. Changement de programme, direction le Pla d'Adet aller-retour pour cause d'orage. 250 partants. 2 km de plat, 4mn30 au kilo, et ça double dans tous les sens... Et pas vraiment question de randonner dans la montée... D'autant plus qu'au sommet, c'est orage violent...forte pluie..éclairs à proximité. On pointe comme on peut et on redescend vite fait. 1H27 pour 13,5 km pour 750 D+, vite dodo, lourd programme le lendemain.

Départ de la navette pour la 2ème étape vers Piau Engaly. Même chose que la veille : départ très rapide, en descente. Attention à éviter les vaches qui paniquent face à 250 coureurs lancés. Puis montée au sommet de la station (800 D+) et une grosse descente bien raide (1100 D-). Et à la remontée vers la station, extinction des feux, arrêt toutes les 5 mn,... Ca double... C'est complètement con de se mettre dans des états pareils... Aller, courage, finalement, ça revient tant bien que mal, on finit par une descente pour revenir à la station. Le hic, c'est qu'il est 13h, qu'il faut redescendre à Vignec pour le kilomètre vertical qui débute à 15h (départ toutes les 10 secondes, pas d'ordre de départ). Dans la navette qui redescend, tout le monde est bien calmé... Un petit passage au gite, manger un peu, dodo de 20 mn (même ma fille ne m'empêche pas de dormir), et c'est parti. On prend place dans la file, et hop, chacun son tour. Bon ça cravache, et les indications de dénivelé (tous les 100D+) ne passent pas vite, même si on arrête pas de zigzaguer sous la ligne de télésiège. Pareil que le matin (mais je ne suis plus seul!), arrêt de 1mn toutes les 5 mn... Bon finalement, c'est 800 D+, mais ça suffit bien. Retour par le téléphérique, petite bière, raviolis, dodo à 21h30.

On attaque ce qui devait être le dur avec 33 km, 2800 D+ (mais en fait ça fait longtemps que ça a commencé...le dur). La bonne nouvelle, c'est que je n'ai pas de douleur. Cette fois-ci départ à 8h du Pla d'Adet. Briefing : pas sûr qu'on aille jusqu'au Pic du Midi à cause du vent (ce qui ne permettrait pas de redescendre avec le téléphérique), on nous avertira à Sencours. Montée matinale vers le Merlans (ça part quand même moins vite que les jours précédents), refuge de Bastan, Col de Bastanet avant de basculer vers la Mongie. Souvenir du tour des lacs de l'année dernière où en remontant depuis la Mongie, on m'avait sabré le moral « Tu sais Campana, c'est pas là, tu dois franchir ce barrage, faire le tour du lac, remonter, franchir un autre lac, puis remonter de l'autre côté pour grimper au refuge ». C'est chiant ces gros blocs (je reconnais quand même que tous ces lacs sont magnifiques). Et arrivé à la Mongie, cette vision des navettes du téléphérique en marche !!! Bim, Pic du Midi ! Baisse de moral arrivé à la Mongie. Et là, merci Pablo, qui me rebooste un bon coup (la soupe du ravito aussi). Allez je le suis dans la montée vers le Sencours (longue, mais pas trop raide), et boom, la petite montée du Pic du midi, avec le moral au beau fixe ! Mais le retour vers Vielle Aure est long : téléphérique, bus (avec attente d'une demi-heure pour le remplir) avec passage du col d'Aspin... Le plus important maintenant : manger (beaucoup) et dormir !

Dernier jour, moral au beau fixe malgré un réveil matinal (merci la course du 80 qui nous réveille à 4h...), on peut lâcher les chevaux. Montée Pla d'Adet – Merlans avalée à bon rythme, on enchaîne avec la remontée vers la Hourquette de Caderolles (hmm mon petit croque monsieur au pied de la montée!), Col de Bastanet (super paysages là-aussi). La remontée des coureurs du 40 km (partis 1 heure après nous) est très stimulante et permet de garder un bon rythme. Le retour par Bastan, Merlans, Soulan est très roulant, il ne faut rien lâcher ! Bon finalement, un petit peu pour savourer ! Arrivée vers 14h à Vielle Aure avec les concurrents du 40, 120 et 220 et du coup un public nombreux et enthousiaste jusqu'à la ligne d'arrivée. Et voilà, mission accomplie ! Douche, voiture et retour à 19h à Bordeaux (bah oui, j'étais attendu !).

Au bilan, et outre un joli tshirt orange, un format original qui a permis de découvrir pleins de chouettes coins, sans blessures/douleurs typiques des ultras !

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